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AUCHAN CFTC VALENCE "GUILHERAND "
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30 janvier 2022

Emmerder : non,dialoguer pour convaincre: oui !

Édito de Cyril Chabanier. Emmerder : non, dialoguer pour convaincre : oui !

10 janvier 2022 |

Covid-19

En fin d’année dernière, j’ai exprimé mon point de vue de citoyen quant à la meilleure façon de traverser cette 5ième vague. J’ai rappelé pour ce faire ce « sacro-saint principe » cher à la CFTC de respect de la liberté de conscience de chacun de nos adhérents. Ce respect vaut bien évidemment pour chacun de nos concitoyens !

Les arguments avancés par les personnes non vaccinées, au sens assumé du terme, ne me convainquent pas toujours, loin s’en faut. Dans certains cas, les plus virulents, je peine à comprendre et, pour tout vous dire, je m’inquiète de ce qui m’apparait comme un rejet systématique de la parole publique, scientifique et, parfois, des faits eux-mêmes. Qu’on me comprenne bien, c’est le côté « systématique » de ce rejet qui doit nous interroger. En toutes choses, le doute est bon ! La curiosité, la volonté de comprendre donc de creuser un sujet pour se forger une opinion propre, argumentée constituent les comportements les plus sains et les plus essentiels qui soient dans une démocratie … Mais comment composer avec cette méfiance qui, telle le virus, mute pour laisser place à la défiance et, on peut le craindre, au stade suivant celui de la violence ?

J’ai une conviction que tout sympathisant CFTC ne peut que partager, j’en fais le pari : opposer la violence verbale à la violence quasi physique des « antivax » est la pire des réponses.

Elle conforte les opposants dans leurs certitudes et leur radicalité et divise un peu plus nos concitoyens jusque dans leurs familles parfois. Signifier à la personne avec laquelle on échange qu’elle est digne de respect, que ses motivations, ses croyances ont leur raison d’être quand bien même on ne les partage pas bref, faire preuve d’un minimum d’empathie, me paraît plus à même de renouer avec le dialogue et avec les faits qui, toujours, doivent l’alimenter. Et si cette modalité de dialogue échoue, on peut aussi faire preuve d’imagination. Je formule ici une proposition : confronter les sceptiques aux faits en organisant des échanges avec les anciens « pensionnaires » des lits de réanimation. Ces derniers qui ont souvent frôlé le pire sauront leur rappeler que 80 % des occupants étaient et sont encore non vaccinés !

Puisque l’heure est à l’expression des vœux pour cette nouvelle année que je vous souhaite heureuse, je formule donc le vœu d’une France qui retrouve le goût et le chemin du dialogue. Celui qui respecte l’« autre », qui concilie, rapproche les points de vue, celui qui construit un avenir où tout le monde à sa place, où les droits et les devoirs sont effectifs parce qu’également distribués ! La portée de ce vœu ne se limite pas à la crise sanitaire, elle vise tous les dossiers qui nous attendent cette année. Qu’il s’agisse de l’avenir de la sécurité sociale, je pense notamment aux retraites, de l’emploi, des modalités de sa réindustrialisation, de sa relocalisation ou encore de sa rémunération, aucune réforme d’envergure ne saurait être légitime si elle ne résulte pas d’un dialogue loyal et sincère entre les parties concernées.

Alors bonne année et bon dialogue !

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28 janvier 2022

Déclaration CFTC au Comité ARF

Capture d’écran 2022-01-28 220451

23 janvier 2022

Nouveau LOgo CFTC Auchan valence

 

 

logo cftc valence

21 janvier 2022

tract CFTC RETAIL AUCHAN FRANCE

1 - COM

8 janvier 2022

Télétravail obligatoire 3 jours par semaine: la CFTC salue "une bonne mesure"

 

Télétravail obligatoire 3 jours par semaine: la CFTC salue "une bonne mesure"

Invité sur BFM Business, le président de la CFTC, Cyril Chabonier, a estimé que le télétravail était "l'un des meilleurs moyens pour lutter" contre le Covid-19. Pour faire face à la flambée des contaminations de Covid-19, le gouvernement a annoncé lundi soir l'obligation du télétravail au moins trois jours par semaine pour les salariés qui le peuvent à compter du 3 janvier.

https://www.bfmtv.com

 

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8 janvier 2022

TÉLÉTRAVAIL OBLIGATOIRE 3 JOURS PAR SEMAINE: LA

 

TÉLÉTRAVAIL OBLIGATOIRE 3 JOURS PAR SEMAINE: LA CFTC SALUE "UNE BONNE MESURE"

Paul Louis

 

 

Invité sur BFM Business, le président de la CFTC, Cyril Chabonier, a estimé que le télétravail était "l'un des meilleurs moyens pour lutter" contre le Covid-19.

Pour faire face à la flambée des contaminations de Covid-19, le gouvernement a annoncé lundi soir l'obligation du télétravail au moins trois jours par semaine pour les salariés qui le peuvent à compter du 3 janvier. Invité ce mardi sur BFM Business, Cyril Chabanier, président de la CFTC, a salué "une bonne mesure".

"Nous avions demandé que le télétravail puisse être augmenté. C'est l'un des meilleurs moyens pour lutter contre cette pandémie et permettre aux salariés de ne pas utiliser les transports en commun", a-t-il dit.

Amende administrative

Il s'est également dit favorable à l'amende administrative prévue dans le projet de loi du gouvernement pour les entreprises récalcitrantes, à condition qu'elle ne concerne "que la catégorie d'entreprises qui ne jouent pas du tout le jeu" du télétravail:

"Pour ces entreprises qui ont souvent déjà été contrôlées, les dispositifs d'aujourd'hui faisaient en sorte qu'on devait passer par du pénal et c'était extrêmement long. Le fait qu'on puisse mettre des amendes (...) est une bonne chose", a assuré Cyril Chabanier.

En revanche, s'agissant des entreprises qui mettent en place le télétravail mais au sein desquelles il peut exister des désaccords entre employeur et salariés sur la possibilité de télétravailler pour certains métiers, "il faut que ça continue de passer par le dialogue social", a indiqué le président de la CFTC.

https://twitter.com/paul_louis_Paul LouisJournaliste BFM Eco
A VOIR AUSSI
8 janvier 2022

TÉLÉTRAVAIL: ELISABETH BORNE VA DEMANDER DU "PRAGMATISME" À L'INSPECTION DU TRAVAIL

 

 

TÉLÉTRAVAIL: ELISABETH BORNE VA DEMANDER DU "PRAGMATISME" À L'INSPECTION DU TRAVAIL

J. Br. avec AFP
Le respect des trois jours obligatoires de télétravail pourra être calculé "en moyenne" et certains salariés pouront "en faire un peu plus et d'autres un peu moins", a déclaré Elisabeth Borne.

La ministre du Travail, Élisabeth Borne, va demander du "pragmatisme" à l'Inspection du travail dans ses contrôles sur le respect des trois jours obligatoires de télétravail, en affirmant que celui-ci pourrait être calculé "en moyenne" dans une entreprise. "Je donnerai une instruction à l'Inspection du travail de pouvoir accepter dans une entreprise que certains puissent en faire un peu plus et d'autres un peu moins", a-t-elle déclaré sur franceinfo.

Depuis lundi et pendant trois semaines, les entreprises où cela est possible doivent permettre à leurs salariés de télétravailler trois jours par semaine, voire quatre. "Il y a des salariés qui n'en peuvent plus du télétravail, il faut prendre en compte cette situation et faire preuve de pragmatisme", a-t-elle ajouté. Les trois jours, c'est "en moyenne" dans une entreprise.

5000 contrôles par mois

"L'objectif à la fin c'est de faire baisser la présence sur site (...) Avant les vacances, 60% des salariés dont les postes sont télétravaillables facilement étaient en télétravail. Évidemment il faut faire plus", a-t-elle insisté. Elisabeth Borne a indiqué avoir demandé à l'Inspection du travail de passer de 1000 à 5000 contrôles par mois même si "la très grande majorité des entreprises jouent le jeu".

Le gouvernement a déposé un amendement dans le projet de loi sur le pass vaccinal examiné à l'Assemblée qui prévoit une amende administrative pouvant aller jusqu'à 1.000 euros par salarié concerné, dans la limite de 50.000 euros. Face aux critiques de Laurent Berger (CFDT) sur le manque d'inspecteurs du travail, elle a répondu "croire beaucoup au rôle des représentants des salariés pour que ces règles se mettent en place".

J. Br. avec AFP
7 janvier 2022

Des arrêts maladie "Covid" sans jour de carence prolongés jusqu'au 31 décembre 2022

Des arrêts maladie "Covid" sans jour de carence prolongés jusqu'au 31 décembre 2022

Publié le 05 janvier 2022 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Illustration 1Crédits : © Marina Andrejchenko - stock.adobe.com

Illustration 1

Les salariés symptomatiques ou positifs au Covid-19, cas contact non-vaccinés ou avec un schéma vaccinal incomplet, en attente d'un test au Covid-19, en isolement après un séjour à l'étranger ou en outre-mer et qui ne peuvent pas télétravailler peuvent bénéficier d'arrêts maladie indemnisés sans vérification des conditions d'ouverture de droits et sans délai de carence. Les indemnités journalières pour ces salariés ainsi que pour les agents publics malades du Covid-19 sont versées dès le premier jour d'arrêt et jusqu'au 31 décembre 2022 au plus tard.

Un décret publié au Journal officiel le 30 octobre 2021 a prolongé jusqu'au 31 décembre 2021 inclus le dispositif des arrêts de travail dérogatoires covid-19. La loi du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire prévoit que le jour de carence ne soit pas appliqué pour les agents publics en congés de maladie directement liés au Covid-19 jusqu''au 31 décembre 2021. La loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2022 publiée au Journal officiel du 24 décembre 2021, prolonge l'indemnisation des salariés en arrêt de travail Covid sans jours de carence. La prolongation pourra se faire jusqu'à une date fixée par décret ou au plus tard jusqu'au 31 décembre 2022.

Salariés concernés par les arrêts de travail dérogatoires Covid-19

Les salariés qui ne peuvent pas télétravailler ou être placés en activité partielle par leur employeur peuvent bénéficier d'un arrêt de travail dérogatoire indemnisé. Ce sont :

  • Les personnes considérées comme vulnérables, vaccinées ou non, qui ne peuvent pas télétravailler, dont le poste de travail peut les exposer à de fortes densités virales, qui ne peuvent pas bénéficier de mesures de protection renforcées et de l'activité partielle. L'arrêt de travail dérogatoire est établi par le médecin traitant.
  • Les personnes non-vaccinées ou avec un schéma vaccinal incomplet ayant été en contact avec une personne positive au Covid-19, contactées par l'Assurance maladie dans le cadre du contact tracing ou ayant reçu une notification de l'application TousAntiCovid peuvent demander un arrêt de travail en ligne pour s'isoler sur le site declare.ameli.fr. L'arrêt est d'une durée de 7 jours à partir de la date de la notification de cas contact. Il pourra être rétroactif dans la limite de 2 jours pour les salariés spontanément isolés avant la date de notification. Si les résultats du test ne sont pas connus à la fin de l'arrêt initial, il est possible de demander une prolongation de l'arrêt dans la limite de 2 jours supplémentaires.
  • Les parents cas contact d'un enfant testé positif au Covid contactés par l'Assurance Maladie dans le cadre du contact tracing. L'indemnisation est ouverte à un seul des deux parents, lorsqu'il ne peut pas télétravailler. L'arrêt est d'une durée de 7 jours à partir de la date de la notification de cas contact. Il pourra être rétroactif dans la limite de 2  jours pour les salariés spontanément isolés avant la date de notification. Si les résultats du test ne sont pas connus à la fin de l'arrêt initial, il est possible de demander une prolongation de l'arrêt dans la limite de 2 jours supplémentaires.
  • Les personnes devant s'isoler à la suite d'un déplacement à l'étranger ou en outre-mer. L'obligation de s'isoler au retour en France dépend du pays de provenance. Pour connaître les conditions de retour en France, consulter le site du gouvernement . Les salariés concernés doivent informer leur employeur qui fera la demande d'arrêt de travail via un téléservice dédié . Pour en savoir plus lire l'article Covid-19 : isolement des salariés à la suite d'un retour de l'étranger . Les indemnités journalières seront versées par l'Assurance maladie à réception de la demande.

  À savoir : L'arrêt de travail est indemnisé sans vérification des conditions d'ouverture de droits, sans délai de carence et sans prise en compte dans les durées maximales de versement, jusqu'au 31 décembre 2022 au plus tard. Il fait également l'objet d'un complément de l'employeur.

  À noter : Pour les salariés non vaccinés ou n'ayant pas fait leur rappel dans les délais et cas contact, avant de procéder au versement des indemnités journalières, l'Assurance Maladie vérifiera que l'assuré est bien considéré comme cas contact à risque. En cas d'accord, une attestation d'isolement valant arrêt de travail dérogatoire lui sera adressée, elle pourra être présentée à l'employeur.

Non-salariés : indépendants, artistes, stagiaires...

Les travailleurs non salariés qui ne peuvent pas télétravailler peuvent bénéficier d'un arrêt de travail dérogatoire indemnisé. Ce sont :

Les parents non salariés en arrêt de travail pour garde d'enfants de moins de 16 ans ou d'enfants handicapés sans limite d'âge suite à la fermeture de l'établissement, classe ou section à cause du Covid-19. Ce dispositif d'indemnisation dérogatoire est ouvert uniquement pendant la période scolaire. Un justificatif attestant de la fermeture de l'établissement ou de la classe doit être fourni. La déclaration doit être faite sur le site declare.ameli.fr ou declare.msa.fr (régime agricole) avec possibilité de déclarer les arrêts de manière rétroactive. Dans le cas de la garde d'un enfant identifié comme cas contact à risque, il n'est pas nécessaire de faire la demande via le téléservice, l'Assurance maladie délivrera l'arrêt de travail dans le cadre du « contact tracing ».

Les personnes non salariées considérées comme vulnérables, vaccinées ou non, qui ne peuvent pas télétravailler, dont le poste de travail peut les exposer à de fortes densités virales et qui ne peuvent pas bénéficier de mesures de protection renforcées. L'arrêt de travail dérogatoire peut être établi par le médecin traitant ou demandé directement depuis le téléservice declare.ameli.fr .

Les personnes non salariées non-vaccinées ou avec un schéma vaccinal incomplet cas contact, contactées par l'Assurance maladie dans le cadre du contact tracing ou ayant reçu une notification de l'application TousAntiCovid peuvent demander un arrêt de travail en ligne sur le site declare.ameli.fr . L'arrêt est d'une durée de 7 jours à partir de la date de la notification de cas contact. Il pourra être rétroactif dans la limite de 2 jours pour les salariés spontanément isolés avant la date de notification. Si les résultats du test ne sont pas connus à la fin de l'arrêt initial, il est possible de demander une prolongation de l'arrêt dans la limite de 2 jours supplémentaires.

Les parents non salariés cas contact d'un enfant testé positif au Covid contactés par l'Assurance Maladie dans le cadre du « contact tracing ». L'indemnisation est ouverte à un seul des deux parents. L'arrêt est d'une durée de 7 jours à partir de la date de la notification de cas contact. Il pourra être rétroactif dans la limite de 2  jours pour la personne isolée avant la date de notification. Si les résultats du test ne sont pas connus à la fin de l'arrêt initial, il est possible de demander une prolongation de l'arrêt dans la limite de 2 jours supplémentaires.

Les personnes non salariées devant s'isoler à la suite d'un déplacement à l'étranger ou en outre-mer. L'obligation de s'isoler au retour en France dépend du pays de provenance. Pour connaître les conditions de retour en France, consulter le site du gouvernement . Pour obtenir un arrêt de travail pour cause d'isolement, il faut s'auto-déclarer sur le site declare.ameli.fr . Les indemnités journalières seront versées par l'Assurance maladie à réception de la demande.

  À noter : Les catégories professionnelles concernées sont les travailleurs indépendants artisans et commerçants, les travailleurs non salariés agricoles, les artistes auteurs, les stagiaires de la formation professionnelle, les gérants salariés, les contractuels de droit public de l'administration et les fonctionnaires à temps non complet travaillant moins de 28 heures.

Le parent stagiaire de la formation professionnelle, contractuel de droit public ou fonctionnaire employé à temps non complet de moins de 28 heures, outre l'attestation de fermeture de l'établissement ou de la classe ou d'un document de l'Assurance maladie attestant que l'enfant est cas contact à risque, devra également fournir une attestation sur l'honneur qu'il est le seul des 2 parents demandant à bénéficier d'un arrêt de travail pour les jours concernés.

L'organisme de formation professionnelle ou l'employeur procédera à la déclaration de l'arrêt via le téléservice.

  À savoir : Dans toutes les situations évoquées ci-dessus, sous réserve de respecter les conditions, l'assuré bénéficie jusqu'au 31 décembre 2022 au plus tard d'un arrêt de travail et d'indemnités journalières versées sans vérification des conditions d'ouverture de droits, sans délai de carence et sans qu'elles soient comptabilisées dans les durées maximales de versement.

Textes de loi et références

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